Baisse dans toutes les catégories
• 8 838 jeunes chefs d’exploitation âgés de moins de 40 ans installés en 2020 (– 3,5 % par rapport à 2019).
Ils représentent 70,7 % des nouveaux installés.
• 3 080 installations tardives (hors transfert entre époux): –12% par rapport à 2019.
Ils représentent 24,6%.
• 590 installations tardives (après transfert entre époux): –21,3% par rapport à 2019.
Ils sont 4,7%.
• 39,6 % des installés sont des femmes (39,7% en 2019).
Diminution dans la quasi-totalité des 13 régions françaises
Treize régions françaises subissent une érosion de leur volume d’installations.
• Nouvelle-Aquitaine (– 14 %),
• Île-de-France (– 13,8 %) : plus grand recul.
• Grand-Est (+ 11,6 %) : seule progression.
• À l’échelle départementale :
Dynamisme dans les Yvelines (+ 39,5 %); la Marne (+ 38,9 %), l’Allier (+ 27,7 %), le Bas-Rhin (+ 23,9 %).
Chute dans les Landes (– 31,8 %), l’Essonne (– 31,3 %), la Nièvre (– 30,9 %), la Seine-et-Marne (– 28,9 %).
Diminution de la superficie moyenne exploitée
• 34,1 hectares : superficie moyenne du jeune installé (35 hectares en 2019).
La moitié des jeunes installés exploite une superficie inférieure ou égale à 20 hectares, un quart exploite plus de 52 hectares.
• 23,1 hectares : superficie moyenne des installés tardifs, hors transfert entre époux (24,3 hectares en 2019).
La moitié dispose de moins de 9 hectares, un quart exploite plus de 31 hectares.
Un taux de maintien très élevé pour les jeunes
• 2,9 % : taux de renouvellement des chefs d’exploitation (3,1 % en 2019).
Mais un fort maintien dans les 6 ans suivant installation.
• 79,8 % des chefs d’exploitation installés en 2014 le sont encore en 2020.
• Taux de maintien : 87,6 % pour les jeunes.
69,3 % pour les plus de 40 ans, hors transfert entre époux.
48,6 % pour cette même catégorie d’âge, après transfert.