L’humain au centre

Doté d’un graphisme épuré et soucieux de l’accessibilité, cette nouvelle formule vise à adapter l’esthétique du Bimsa aux nouveaux modes de lecture en réservant une place centrale à l’humain, symbolisé par le portrait en ouverture. Elle réaffirme l’identité du magazine en s’appuyant sur ses points forts : une équipe de journalistes professionnels reconnus, un lectorat fidèle et un ancrage territorial qui mise sur la proximité et le recueil d’une information fraîche récoltée sur le terrain.

Le Bimsa reste ainsi fidèle à la philosophie qui le guide depuis la naissance du bulletin d’information de la MSA il y a plus de vingt ans, lui-même héritier du Bima (bulletin de la mutualité agricole), né en 1952. Il continue d’offrir une information vérifiée à la fois exigeante et à la portée de tous, et en particulier des délégués MSA, des maires ruraux et des partenaires du monde agricole. Le magazine profite de sa nouvelle maquette pour renforcer son ouverture aux ruralités plurielles, non seulement pour permettre aux habitants des territoires de décrypter leur époque, mais également pour leur apporter des informations clés pour avancer à tous les âges de la vie dans un monde rural riche et diversifié en perpétuelle mutation. 

Une :  avec un mini-sommaire de quatre titres, l’équipe a choisi de conserver les atouts de l’ancienne Une, qui avait bénéficié d’une amélioration intervenue au milieu de l’année dernière. Ce changement a été particulièrement salué par l’enquête de lectorat réalisée au début de cette année. 

Le portrait : l’équipe casse les codes en ouvrant le magazine avec un portrait sur une double page, dont une photo pleine page. Objectif : mettre l’extraordinaire richesse des acteurs du monde rural à l’avant-poste du magazine, permettant non seulement à nos lecteurs de se reconnaître, mais aussi d’y trouver matière à inspiration et/ou fierté. 

L’essentiel : un éditorial, des actualités des régions ou de l’institution. Ces informations, notamment en provenance des caisses de la MSA – mais aussi de ses services statistiques – ainsi que les milliers de chiffres anonymisés qui dessinent un portrait assez fin des ruraux, seront mis à profit. L’idée est de faciliter la prise d’informations à consommer façon « grignotage » à destination d’un lectorat qui veut en avoir pour son temps de lecture en multipliant les formats : chiffres, citations, diagrammes… 

La question : le cœur du magazine reste le dossier du mois. On y retrouve l’ensemble des outils mis à disposition par la nouvelle maquette : l’apparition de l’infographie narrative, portrait, interview, articles de fond…  

Décryptage : nous décodons un phénomène d’actualité d’envergure nationale pour donner des repères à nos lecteurs.

Territoires : place ici aux initiatives locales, aux solutions apportées à des problématiques de territoire. Nous découvrirons également le quotidien d’un professionnel de l’agriculture, du sanitaire et social ou de l’éducation, de délégués MSA mais aussi de politiques comme les maires ruraux.  

Mieux vivre : faciliter la vie de nos lecteurs et des ruraux en général, donner des repères : aides distribuées par la MSA à destination des jeunes, des familles ou des retraités, suivies d’une page culture.  

La bonne nouvelle : ce nouveau rendez-vous, placé en dernière page du magazine, a pour objectif d’inspirer et de motiver les lecteurs en mettant en lumière des récits de réussite, d’innovation, d’avancée sociale, d’altruisme et de résilience dont fourmille le monde rural et agricole.